Effectifs policiers : en coulisses, le bras de fer entre Brest et l’État

par Letelegramme

Dans la nuit de lundi à mardi, la ville de Brest a bien failli ne voir tourner aucune patrouille de police-secours. La faute à un sous-effectif, dénoncent les syndicats de police. La réalité est plus complexe et… politique. Retrouvez la suite de notre enquête sur le Telegramme.fr

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