«Echec cinglant», «réforme mal engagée» : les réactions à l'abandon de la réforme constitutionnelle
par Libération
Le chef de l'Etat a annoncé mercredi qu'il ne convoquera pas de Congrès pour réviser la Constitution. Conséquence : il n'y inscrira ni l'état d'urgence, ni la déchéance de nationalité pour les terroristes. Alors que le premier secrétaire du Parti socialiste et le Premier ministre accusent les sénateurs de droite d'avoir bloqué cette réforme, les élus Les Républicains dénoncent cette annonce, la qualifiant, à l'instar de Christian Jacob, «d'échec cinglant».
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