Au Libéria, le pays le plus touché par l‘épidémie d’Ebola, le chef de la Mission des Nations Unies pour l’action d’urgence contre le virus, Anthony Banbury, a évoqué hier des améliorations, après avoir rencontré le chef de l‘État et visité un centre logistique dirigé par l’ONU.
“Nous sommes tous extrêmement heureux, satisfait qu’il y ait des améliorations significatives dans certaines zones : des réductions de transmissions, des réductions du nombre de gens qui contractent le virus et qui en meurent”, a indiqué Anthony Banbury, avant d’ajouter qu’il ne fallait baisser la garde.
Il n’y a pour l’instant aucun traitement ou vaccin homologué pour lutter conte le virus. En Suisse, des hôpitaux universitaires recherchent des volontaires pour tester un vaccin, selon des médias. Tandis qu’en France, des chercheurs ont développé un test de diagnostic rapide du virus qui est en phase de préproduction.
Avec AFP, AP et Reuters
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