Il y a encore trois mois, l’Italie ne voulait pas considérer comme interlocuteur le maréchal Khalifa Haftar, homme fort de la Libye. Mais, la semaine dernière, il a été reçu par la ministre de la Défense italienne Roberta Pinotti.
Comment expliquer ce changement de comportement de l’Italie ?
Les rencontres d’Haftar avec les dirigeants occidentaux (italiens, français) n’affaiblissent-elles pas Faïez El-Sarraj, le chef du gouvernement reconnu par la communauté internationale ?
Juan et Houda Ibrahim, journaliste au service Afrique de RFI répondent aux questions des auditeurs d'Appels sur l'actualité.
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