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DidierPittet prévoit un bilan final "à l'été 2022"

par franceinter

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Le professeur Didier Pittet, épidémiologiste, président de la mission indépendante nationale sur l’évaluation de la gestion de la crise COVID-19 en France, est l'invité du Grand Entretien de France Inter.Plus d'infos : https://www.franceinter.fr/emissions/l-invite-de-8h20-le-grand-entretien/l-invite-de-8h20-le-grand-entretien-18-fevrier-2021

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"À partir du moment où on n'a pas assez de doses de vaccin, la stratégie est bonne de réduire la mortalité chez nos aînés" (Pr Didier Pittet)
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Taïwan et le Vietnam ont "extrêmement bien géré la situation" (Pr Didier Pittet)
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Nouvelle vague inévitable en mars ? : "Si les consignes sont respectées, on a les capacités de maitriser la situation, variant ou non" (Pr Didier Pittet)
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"Le vaccin devrait être un bien commun" (Pr Didier Pittet)
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"La France est dans un plateau stable, relativement élevé, avec des transmissions qui continuent à se faire" (Pr Didier Pittet)
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Ne pas reconfiner, une bonne solution? "C'est une pesée d'intérêts, ça n'est pas un pari" (Pr Didier Pittet)
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en France, "les choses ont largement changé, la communication a été faite différemment"(Pr Didier Pittet)
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Arnaud Fontanet : "Le schéma vaccinal va être tendu au premier trimestre, et en revanche on va se retrouver avec beaucoup de vaccins pour le deuxième trimestre : on commencera à arriver sur des objectifs d'immunité collective."
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Arnaud Fontanet : "L'exponentielle, elle existe déjà, simplement quand on est tout en bas, elle n'est pas visible. Mais le moment où on redoute que le variant devienne majoritaire, c'est le mois de mars."
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Arnaud Fontanet : "La transmission dans les écoles reflète l'état de la transmission en communauté. Alors que pour une maladie comme la grippe, l'école joue le rôle d'amplificateur."
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Arnaud Fontanet : "Quand vous n'avez pas beaucoup de vaccins, il faut cibler les personnes qui, si elles étaient infectées, iraient à l'hôpital et éventuellement pourraient mourir. "
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Arnaud Fontanet : "Avant les épidémies de grippe, on arrive à vacciner 12 millions de personnes en deux mois, sans faire un effort colossal. Quand on aura des vaccins plus faciles d'utilisation, on pourra vacciner comme pour la grippe."
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Arnaud Fontanet : "Le gouvernement cherche à voir si des mesures qui ressemblent au confinement mais permettent de garder un peu de vie économique et sociale parviennent à contrôler la progression du variant. On est dans la dernière chance."
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Arnaud Fontanet : "Le masque est absolument essentiel, l'hygiène des mains, le nettoyage des surfaces et l'aération aussi. La distance physique nous donne une garantie supplémentaire."
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Arnaud Fontanet : "L'illusion serait de croire qu'à partir du moment où on aurait auto-confiné les personnes les plus fragiles et les plus âgées, on pourrait laisser le virus circuler dans le reste de la population. On aurait une épidémie dévastatrice."
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"Ce qu'on voit aujourd'hui est une reprise de l'épidémie" (Arnaud Fontanet)
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"Rassuristes" - Pour Arnaud Fontanet, membre du conseil scientifique, "à l'échelle internationale, ces positions-là sont minoritaires"
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Arnaud Fontanet : "Il faut répéter l'enquête pour savoir où en est le variant anglais dans la population française. Il est essentiel de pouvoir le suivre de très près. Idéalement il faudrait le faire toutes les semaines."
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Arnaud Fontanet : "La question du reconfinement sera conditionnée par la progression des nouveaux variants sur le territoire français, qu'il s'agit donc de pouvoir détecter."
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Responsabilité de chacun face au virus : "La confusion est née du fait qu'on a entendu tout et son contraire sur cette épidémie" (Arnaud Fontanet)

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25 novembre 2024 - leparisien

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