Quelques semaines après la sortie médiatique effectuée par le président de la République Emmanuel Macron, au cours de laquelle il s’était prononcé sur le traitement à la chloroquine pour lutter contre ..., un proche collaborateur du professeur marseillais Didier Raoult est revenu sur l’efficacité et la qualité de cette Molécule. Ce proche collaborateur de Didier Raoult a souligné qu’il n’était pas de son ressort de commenter les propos d'Emmanuel Macron. Mais il s’est par la suite évertué à étaler tout le travail qui est fait à la chloroquine, pour endiguer la propagation de ....
« Tout ce que je peux vous dire, c’est que nous, on va continuer à faire ce qu’on a toujours fait. L’idée de l’institut hospitalo universitaire, c’est de proposer une offre de soins qui contient une stratégie globale », a confié ce professeur de l'Institut Méditerranée Infection à Marseille. Selon ses dires, le traitement miracle à la chloroquine est une méthode éprouvée et facile de lutte contre ce virus. Il met en effet notamment l'accent sur la nécessité de procéder à des tests de dépistages précoces, et de la prévention de l'infection au ..., pour aboutir à des traitements plus précoces et mieux adaptés.
« Dans cette stratégie de lutte contre..., il y a la proposition d’un dépistage précoce efficace de la maladie, d’un traitement précoce qui peut, quant à lui, empêcher certains problèmes de s'aggraver. C’est basé sur des données confirmées in vitro et cliniquement, c’est-à-dire dans le tube, et sur la recherche et des données cliniques avec des études, et évaluations qui confirment son impact positif dans notre institut sur 3700 patients, et 2 études américaines récemment publiées au sujet de la chloroquine», a déclaré ce proche collaborateur de Didier Raoult.
En effet, l’actuel locataire de l’Elysée indiquait dans un entretien, accordé récemment à Léa Salamé et Gilles Bouleau, qu’il n’avait aucune confiance au protocole marseillais mis sur pied par le professeur universitaire de renom, Didier Raoult. Il annonçait en effet qu’en cas de contamination par le ..., il ne souhaitait pas suivre un traitement à la chloroquine. « Aujourd’hui, on n’a pas prouvé que c’était le bon traitement », avait confié Emmanuel Macron au cours de cette longue interview qu’il a effectuée.
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