Didier Eribon : "Face à la violence du néolibéralisme, une boutique détruite ne m'émeut pas beaucoup"

par franceculture

Didier Eribon "Face à la violience de l'idéologie néolibérale qu'appliquent avec brutalité nos gouvernants, une boutique détruite sur les Champs Elysées ne m'émeut pas beaucoup."

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