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Delphine Batho : "Le mariage forcé avec la gauche je ne suis pas d'accord"

par franceinter

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Delphine Batho, députée Generation écologie des Deux-Sevres,, sera l'invitée de « Questions Politiques » ce dimanche. Une émission présentée par Ali Baddou avec Carine Becard (France Inter) Françoise Fressoz (Le Monde). https://www.franceinter.fr/emissions/questions-politiques/questions-politiques-11-avril-2021

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Le zapping politique de la semaine, par Aurélien Colly
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Xavier Bertrand : "La crise du Covid, c'est l'acte de décès du centralisme parisien tel qu'on le connait. C'est pour ça que je souhaite maintenant qu'il y ait une République des territoires (...). Vous voulez de l'efficacité ? Il faut de la proximité."
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Xavier Bertrand : "Il ne s'agit pas seulement de convaincre un parti, il s'agit de convaincre les Français. Il ne faut pas qu'il y ait de barrière entre le projet que je porte et les Français."
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Le portrait de Xavier Bertrand par Carine Bécard, dans Questions Politiques
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Xavier Bertrand : "En janvier, j'ai dit que la stratégie vaccinale nous amenait dans le mur. Elle a été en partie rectifiée. Je ne regrette qu'une chose : ne pas l'avoir dit encore plus fort et plus tôt."
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Xavier Bertrand : "Je veux que l'État soit fort (...), mais je ne veux plus que ce soit à Paris que se gèrent les politiques économiques, les politiques de logement, de santé, de transport. C'est la seule façon d'être demain efficaces."
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Xavier Bertrand : "Cette épidémie a un caractère évolutif phénoménal, et les variants ne font qu'accentuer cette tendance (...). Mais quel que soit le taux d'incidence, pourquoi nos musées sont restés fermés aussi longtemps ?"
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Xavier Bertrand : "De plus en plus de policiers voire de gendarmes voient leur famille menacée. Parfois ils ne font plus les courses en famille parce qu'ils ne veulent pas être reconnus."
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Xavier Bertrand : "Boris Johnson a tout misé sur la vaccination (...) : il a voulu un vaccin, et il a eu son vaccin. Si ça n'avait pas fonctionné, on aurait pu le critiquer, mais le rôle d'un responsable politique c'est la prise de risques."
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Xavier Bertrand : "Une fois que les décisions sont prises en conseil de défense, on devrait savoir sur quels fondements elles ont été prises. Ce n'est pas un conseil de guerre, le virus n'est pas un ennemi qui chercherait des secrets."
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Xavier Bertrand : "A partir du moment où les États-Unis mettent en place un tel plan de relance, l'Europe doit suivre (...). Je veux mettre en place des programmes d'investissement dans les infrastructures dans tout le pays."
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Xavier Bertrand : "Il n'est pas question de faire une différence entre des élections "essentielles" et "non essentielles". Sur la gestion de la crise, la démocratie en elle-même a été bousculée."
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Xavier Bertrand : "Il faudra un hommage national aux victimes du Covid. Le cap des 100000, ce n'est pas un chiffre, c'est autant de familles qui ont perdu l'un des leurs."
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Xavier Bertrand : "Ce ne sont plus les critères d'âge qui doivent entrer en ligne de compte à partir du moment où les plus fragiles ont été vaccinés (...). Il faut prioriser ceux qui travaillent en première ligne, ceux qui ne télétravaillent pas."
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Xavier Bertrand : "Il est temps : le combat pour la laïcité est un combat pour la République, et plus largement pour la France. Je souhaite que l'on ait des armes pour lutter contre ceux qui s'en prennent à la laïcité."
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Xavier Bertrand : "Le projet de redressement que je veux porter s'articule autour de l'autorité, du travail, et d'une République des territoires : il n'y a que le président de la République qui peut porter cela et donner l'impulsion."
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Xavier Bertrand : "Le problème que nous en France, c'est qu'il y a je ne sais pas combien de personnes habilitées à s'exprimer. Bon sang, depuis le début, faisons avec une personne qui parle et les autres se taisent !"
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Xavier Bertrand : "Le populisme n'est certainement pas un modèle. Si j'ai des modèles, ils sont dans la vie politique française, mais ce n'est certainement pas monsieur Trump."

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24 novembre 2024 - purepeople

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