De l'« Édithgate » au « Nobiligate », « Le Canard enchaîné » perd des plumes
par lepointabonnes
Le livre ne s’appelle pas Cher Connard, nom du best-seller de la rentrée de Virginie Despentes, mais Cher Canard. Dans ce brûlot de 250 pages écrit dans le style corrosif et potache du Palmipède et publié le 8 mars dernier aux éditions JC Lattès, Christophe Nobili dénonce une affaire d’emploi fictif au sein du journal qui l’emploie depuis 2005. Il raconte comment il a découvert qu’Édith Vandendaele, la compagne d’un des dessinateurs historiques du titre, André Escaro, avait été rémunérée par l’hebdomadaire. Elle aurait été payée jusqu’à 5 000 euros par mois pendant vingt-cinq ans sans avoir foulé le siège du journal, au 173 de la rue du Faubourg-Saint-Honoré, à Paris, et toucherait aujourd’hui une retraite de 4 000 euros. Cette employée aurait ainsi coûté plus de 3 millions d’euros à l’hebdomadaire, charges comprises.https://www.lepoint.fr/medias/de-l-edithgate-au-nobiligate-le-canard-enchaine-perd-des-plumes-08-04-2023-2515441_260.phpRetrouvez-nous sur : - Youtube : https://www.youtube.com/c/lepoint/- Facebook : https://www.facebook.com/lepoint.fr/- Twitter : https://twitter.com/LePoint- Instagram : https://www.instagram.com/lepointfr- Tik Tok : https://www.tiktok.com/@lepointfr- LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/le-point/posts/- www.lepoint.fr
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