par MediaActuY
Mardi 8 février, Gérald Dalmanin a demandé à plusieurs reprises à la journaliste Apolline de Malherbe de "se calmer". Même dans l'hémicycle il y a eu polémique, à laquelle Marlène Schiappa a répondu.
#ProposDarmanin #DeMalherbe #lopposition #gronde #Schiappadéfend #ministre
Constance Le Grip, adjointe LR en Haute-Seine, sur l'échange tendu entre le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin et les reporters de la BFMTV-RMC Apolline de Malherbe lors d'une question au gouvernement mardi 8 février Matin.
Marlène Schiappa, la représentante du ministre chargé de la Citoyenneté, a répondu aux questions des députés sur l'attitude du ministre : "D'abord, je suis désolée, je pensais qu'on était à l'Assemblée nationale, pas à la rédaction de Télé-Loisirs, nous commentions une émission télévisée", a-t-elle déclaré dans un communiqué.
La ministre a trouvé la critique de la droite et sa "cool leçon" "très intéressantes". "Vous avez 200 ans et vous criez après une jeune femme qui essaie de vous parler", a-t-elle déclaré. "Pendant cinq ans, nous avons soutenu vos cris, vos propos sexistes et vos pensées inappropriées", a-t-elle poursuivi en se rappelant.
Marlène Schiappa défend avec passion un bilan
La représentante des Républicains a pointé sa question sur l'attitude "doit être calme et retenue en toutes circonstances" du ministre. Elle a dénoncé "une scène surréaliste" dans laquelle "M. Damanin s'est énervé et a tenu des propos agressifs à un journaliste qui ne faisait que son travail". Le député de droite a rappelé que la journaliste en question, Apolline de Malherbe, faisait référence à des chiffres de délinquance, "qui se sont avérés très mauvais pour 2021".
Sur le plateau, Gérald Darmanin a demandé à plusieurs reprises aux journalistes qui l'interrogeaient de "se calmer". Juste avant, Apolline de Malherbe l'avait interrogé sur la sécurité, lui demandant si l'exécutif avait annoncé un deal sur Emmanuel Macron trois mois avant la fin de son quinquennat. Selon le ministère de l'Intérieur, les journalistes ont fait état d'augmentations de la violence, des agressions, des coups et blessures volontaires, des homicides, des violences sexuelles, qui "ont tellement augmenté qu'on parle même d'"exploser"".
Marlène Schiappa a défendu avec enthousiasme les résultats du président et du ministre de l'intérieur, qui sont "très bons car ils essaient de mieux combattre l'insécurité". diminué.
L'opposition critique le bilan d'Emmanuel Macron
L'opposition ne s'est pas empêchée de critiquer le bilan du gouvernement en matière de sécurité. L'écologiste Julien Bayou dénonce le "sexisme crasse" du ministre qui ne fait pas "oublier la pertinence de la remarque de la journaliste : oui le gouvernement a échoué ou renoncé sur la sécurité des personnes et en particulier des femmes"
L'ancienne ministre Laurence Rossignol a dénoncé "la vieille combine misogyne qui con