CVR : Sexe et politique : la fin de l'omerta ?
par LCP
Le secrétaire d’État à la Fonction publique, soupçonné d’agressions sexuelles sur deux ex-employées de la municipalité de Draveil, a remis le 29 mai sa démission au gouvernement. L’ensemble de la classe politique a salué la décision de Georges Tron. L’opposition a réagi très prudemment, en raison de l’affaire DSK qui secoue depuis plusieurs semaines le Parti socialiste.A un an de l’élection présidentielle, les affaires de mœurs n’ont jamais été à tel point sur le devant de la scène politique française. On se souvient en revanche du « Monicagate », de l’ex-président israélien Moshé Katzav qui avait dû démissionner à la suite d’un scandale sexuel, ou encore des frasques de Silvio Berlusconi, dont le procès du « Rubygate » débute le 31 mai.En France, des associations féministes se sont mobilisées pour protester contre l’image dégradée des femmes véhiculée notamment par les réactions de la classe politique dans l’affaire DSK. L’occasion de rappeler que le viol n’est en aucun cas un acte anodin, et qu’en France seules 10% des femmes l’ayant subi portent plainte.Le pouvoir a-t-il une incidence particulière sur les comportements sexuels ? Sexe et politique, des relations troubles ? Autour d’Arnaud Ardoin, les invités de Ça vous regarde nous livrent leur analyse.Invités : +Michela Marzano, professeur de philosophie à l’Université Paris V-Descartes+Marie-Jo Zimmermann, députée UMP de Moselle+Marc Valleur, psychiatre+Jean-François Cassant, secrétaire général de l’union syndicale des collaborateurs parlementaires. USCP-UNSADiffusion : du lundi au jeudi à 20h50En partenariat avec :
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