Critique du film « Le Teckel » de T. Solondz : chronique acerbe de la vie d'un chien

par Le Monde

Au fil de quatre histoires, le réalisateur américain dresse un portrait sardonique de la petite bourgeoisie du New Jersey, au travers du regard d'un teckel. Le « pitch » du dernier film de Todd Solondz est simple « c'est le portrait d'un teckel et de tous ceux auxquels il apportera un bref instant de bonheur. » Mais bien sûr, il n'est pas seulement question de bonheur dans le septième long métrage du réalisateur de Happiness (1998), connu pour son style noir et grinçant.

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