Critique de « Sully » : prouesse narrative et conjuration du 11 septembre
par lemondefr
Le 15 janvier 2009, la ville de New-York assiste à l’amerrissage extraordinaire d’un Airbus A320 sur le fleuve Hudson. Après avoir perdu les deux réacteurs de l’appareil, le pilote, Chelsey Sullenberger, était parvenu à sauver la vie de tous les passagers et de l’équipage. Dans son film «Sully», Clint Eastwood raconte cette histoire vraie en prenant le parti narratif de multiplier les points de vues impliqués dans cet évènement. En toile de fond, New-York, huit ans après les attentats 11 septembre 2001 ajoute une dimension cathartique au récit de l’exploit du pilote « Sully». La critique en vidéo.
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