“Ouvre cette foutue porte”. Ces mots dévoilés à la Une du quotidien allemand “Bild” ce dimanche, sont ceux du commandant de l’A320 de Germanwings.
Ces mots sont issus de la boîte noire qui enregistrait les sons à l’intérieur du cockpit de l’appareil, là où s‘était enfermé le co-pilote. Vingt minutes d’enregistrement. D’abord des échanges banals entre Lubitz et son commandant, puis en l’espace d’un instant, un claquement fort, les passagers qui se mettent à crier, le pilote qui essaie d’ouvrir la porte avec une hache, les passagers qui crient encore, puis, le silence, l’avion s’est écrasé.
Les enquêteurs privilégient la piste d’un acte volontaire du copilote. Ce dernier souffrait de problèmes psychiatriques. Selon un autre journal allemand, la police aurait ainsi découvert à Düsseldorf. , chez Andreas Lubitz, “un grand nombre de médicaments” destinés au traitement de troubles psychique.
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