Face aux micros et aux caméras, la réponse, polie, est toujours la même : « La justice fait son travail. » « Les perquisitions ? Édouard savait que ça pouvait arriver. Il vit ça tranquillement », jure un fidèle d'Édouard Philippe. L'ancien Premier ministre était auditionné mercredi 21 octobre par la commission d'enquête lancée par l'Assemblée nationale sur la gestion de la première vague du coronavirus.https://www.lepoint.fr/politique/covid-19-les-perquisitions-bombes-a-retardement-22-10-2020-2397529_20.php
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