Coronavirus : quand le directeur de l’ARS du Grand Est déraille
par lepointabonnes
Interrogé samedi par « L’Est républicain » sur l’avenir du centre hospitalier régional de Nancy (CHRU), Christophe Lannelongue a eu cette réponse proprement sidérante : « Il n’y a pas de raison de remettre en cause le Copermo pour le CHRU de Nancy. Le dossier devrait être examiné début juin. […] La trajectoire reste la même. »Une « trajectoire » en forme de sortie de route quand on sait que le Copermo en question (comité interministériel de performance et de modernisation de l’offre de soins) prévoit, dans les six prochaines années, la suppression de 598 emplois et de 174 lits dans cet établissement lourdement endetté.
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