A l'initiative de la motion de censure contre la politique économique du gouvernement, Jean-François Copé, le président de l’UMP, a attaqué, ce mercredi à la tribune de l’Assemblée nationale, la morale du gouvernement. Evoquant l'affaire Cahuzac, il a jugé que "si les faits étaient avérés", ce serait "extrêmement grave".
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