Les ostréiculteur bretons ont vu leurs ventes d’huitres diminuer de 20 à 50% pour le réveillon du nouvel an.
Et pourtant la région n’a pas eu de zones fermées pour présence de norovirus.
Mais ce sont les interdictions de vente sur le bassin d’Arcachon, puis en Normandie, qui ont semé le doute chez les consommateurs en France. Et c’est donc toute la profession qui a été impactée, en cette période où 50 % du chiffre d’affaire annuel est habituellement réalisé.
La filière attend le soutien soutien financier de la part de l’état pour faire face au manque à gagner et rappelle que sur les 375 zones conchylicoles, que compte le littoral français, moins d’une dizaine ont été contaminées.
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