Comment est justifiée une détention provisoire, dont les policiers voudraient s’exonérer

par Huffington Post

POLICE - Arrêts maladie et grève du zèle : le mouvement de colère des policiers marseillais, qui dénoncent le placement en détention provisoire d’un de leurs collègues suspecté de violences policières, se poursuit et se propage, ont assuré mardi 25 juillet des syndicats des forces de l’ordre. Depuis l’incarcération de leur collègue, accusé d’avoir passé à tabac une jeune de 21 ans en marge des émeutes ayant suivi la mort de Nahel, la profession est vent debout contre cette mesure judiciaire. Les déclarations du directeur de la police général, Frédérix Veaux, pour qui « un policier n’a pas sa place en prison » avant un éventuel procès, ont été perçues comme un acte de « sédition » par certains responsables politiques. Comme vous pouvez le voir dans notre vidéo, cette mesure est pourtant encadrée par l’article 144 du Code de procédure pénal, qui prévoit plusieurs motifs justifiant son application. #police #marseille #nahel ----- Abonnez-vous à la chaîne YouTube du HuffPost dès maintenant : https://www.youtube.com/c/lehuffpost Pour plus de contenu du HuffPost: Web: https://www.huffingtonpost.fr/ Facebook: https://www.facebook.com/LeHuffPost/ Twitter: https://twitter.com/LeHuffPost Instagram: https://www.instagram.com/lehuffpost/ Pour recevoir gratuitement notre newsletter quotidienne: https://www.huffingtonpost.fr/newsletter/default/

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