Tant qu'il n'y a pas de fuite sur le YM URANUS, le risque de pollution est minimum. C'est ce qu'a expliqué ce matin, Christophe Rousseau, directeur adjoint du Centre de documentation, de recherche et d'expérimentation sur les pollutions accidentelles des eaux (CEDRE). Un organisme qui cherche actuellement à obtenir plus de détails sur les solvants que transporte le chimiquier, afin de déterminer les dispositions à prendre en cas de déversement dans l'eau. Les images de Stéphane Jézéquel.
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