Le 25 août dernier, nos équipes du Télégramme et de Tébéo-Tébésud découvraient en même temps qu’une propriétaire de chevaux trégorroise, la mutilation d’un de ses équidés… La signature est souvent la même : oreilles entaillées voire même coupées, mutilation d’organes génitaux, jusqu’à la lacération dans les pires cas… Qui s'en prend aux chevaux ? Comment la police travaille-t-elle sur ces affaires ? Le Télégramme a enquêté...
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