Cette semaine, le débat de Ne nous fâchons pas est consacré à l’arrivée au pouvoir en Grèce de Syriza, le parti de la gauche radicale, mené par Alexis Tsipras, nouveau premier ministre. Au cours de son premier conseil des ministres mercredi, il a annoncé les mesures "anti-austérité" défendues dans son programme : gel des privatisations, hausse du Smic et des retraites sans oublier sa volonté de négocier un allégement de dette avec la troïka (FMI, Union européenne et Banque central européenne). Alexis Tsipras peut-il tenir son pari ? Le point de vue de Charles Consigny.
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