Durant 4 jours, 24 personnes ont appliqué 4 protections solaires dont deux sprays, une lotion et une crème.
A l’issue de cette expérience, certains composants ont été retrouvés dans le sang des sujets.
Sur les 6 personnes qui utilisaient des protections contenant de l’ecamsule, 5 avait absorbé une quantité significative.
Tous les volontaires présentaient un taux de concentration d’oxybenzone élevé à la fin du deuxième jour.
Les autres composants présents sont l’avocrylène et l’avobenzone.
Certains composants, notamment l’oxybenzone, sont déjà controversés.
Pour l’être humain, il constitue un allergène, et peut être un perturbateur endocrinien.
Néanmoins, sa dangerosité n’est réelle que lorsqu’il est présent en grande quantité dans les crèmes solaires.
Les auteurs de l’étude ainsi que les dermatologues recommandent vivement de continuer à utiliser des protections solaires.
L’exposition aux rayons UV du soleil augmente avec certitude le risque d’un cancer de la peau.
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