: «Certaines belles âmes voudraient mettre un embargo sur le gaz russe, c’est facile à dire mais c’est impossible pour beaucoup de pays»
par CNEWS
La journaliste Eugénie Bastié explique qu’il est simple de prendre des positions sur la réduction de notre consommation de pétrole ou de gaz mais que dans la réalité seule une petite partie de la population européenne le peut, en utilisant des solutions alternatives mais que bien des pays sont totalement liés au gaz russe par exemple en Europe de l’est ou la dépendance dépasse parfois les 75% : «Certaines belles âmes voudraient mettre un embargo sur le gaz russe, c’est facile à dire mais c’est impossible pour beaucoup de pays».
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24 novembre 2024 - leparisien