Depuis que Closer a révélé la liaison entre François Hollande et Julie Gayet, un véritable déferlement médiatique s’en est suivi. Depuis, Valérie Trierweiler évite de trop lire la presse ou d’écouter la radio. Un de ses plus proches confirme : l’annonce de la séparation du couple présidentiel, avant son départ en Inde pour un voyage humanitaire, n’était pas « son choix » mais « était logique ».
Lors de ce déplacement, Valérie Trierweiler s’est confié, devant des dizaines de journalistes afin de donner un début de version de sa séparation avec François Hollande : il s’agit bien d’une rupture car il n’y a pas eu de « préavis » Elle a laissé entendre que le pouvoir avait cassé leur relation : « Nous serions toujours ensemble s’il n’avait pas été président. » Elle a assuré ne pas être en guerre avec François Hollande, expliquant que leurs rapports étaient restés bons.
Aujourd’hui, Valérie Trierweiler a choisi de se livrer dans les colonnes de Paris Match : « Quand j’ai su, j’ai cru tomber d’un gratte-ciel ». Après ce choc, elle souhaite prendre ses distances avec le monde politique et réfléchir à son avenir.
Cet événement a peut-être eu le mérite de flouter la frontière qui partage vie privée la vie publique, et de réfléchir au statut de première dame.
Arnaud Ardoin en débat avec ses invités.
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Une production LCP-Assemblée nationale.
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