"C'est bien pire à Kharkiv et Marioupol, qu'à Boutcha" affirme Cécile Coudriou, présidente d'Amnesty International France
par BFMTV
Amnesty International dévoile un rapport rassemblant de nombreuses preuves éventuelles de crimes de guerre commis par des militaires russes contre des civils ukrainiens. "Choquant et inouï' affirme Cécile Coudriou, présidente d'Amnesty International France, ajoutant qu'il fallait "absolument dénoncer les tactiques de l'armée russe, les prouver et punir"
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24 novembre 2024 - leparisien