Bonneville : traumatisé par une perquisition, il témoigne

par Le Messager

Le 5 mars dernier, Kamel Graidia voit débarquer chez lui une vingtaine de gendarmes. Plaqué au sol, menotté, sa maison perquisitionnée, ses armes de chasse et de tir saisies. Il témoigne de cette mésaventure, dont les travaux de l'avenue de Genève sont le point de départ.

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