Belfort, «c'est un site qui ne sera en difficultés que dans deux ans», assure Vidalies
par Libération
Le secrétaire d'Etat aux Transports a assuré qu'il y avait cinq projets en cours de discussions pour Alstom qui pouvaient sauver le site de Belfort. Le groupe a annoncé ce week-end l'arrêt des activités ferroviaires en 2018. Alain Vidalies estime que «c'est un site qui ne sera en difficultés que dans deux ans [...] avec un trou de commandes qui va de 2018 à 2022, puisqu'à partir de cette date, le TGV du futur, qui est en construction, pourra relayer l'activité.» Il assure toutefois que «la direction aurait pu attendre», précisant que l'on attend la réponse du «plus grand appel d'offre qui ait jamais existé, 3,5 milliards (d'euros) lancé par le Stif (Syndicat des transports d'Ile-de-France).»
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