Bartolone s'oppose à une alliance avec Bachar al-Assad, «premier assassin de son peuple»
par Libération
Le président de l'Assemblée nationale estime lundi sur Europe 1 que la menace terroriste ne justifie pas de se rapprocher du leader syrien. «Ce serait une erreur considérable de croire que l'assassin de son peuple pourrait d'un seul coup faire partie de la solution», a-t-il expliqué avant d'affirmer que «le principe de réalité, c'est d'être dur avec tous ceux qui ont massacré ce peuple syrien, et Bachar al-Assad et Daech ont une responsabilité dans ces assassinats». Claude Bartolone souhaite par ailleurs «qu'il puisse y avoir une coalition de pays autour [de l'Irak et la Syrie] qui luttent contre Daech pour mettre des troupes au sol».
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