Le gouvernement et l’opposition réunis autour d’une même table au Venezuela. L’image est inédite, tout comme le dialogue qui s’ouvre entre les deux parties.
Pressé par l’Union des nations sud-américaines, Nicolas Maduro a donc accepté de rencontrer ses plus fervents adversaires, pour tenter de mettre un terme à plus de deux mois de protestations anti-gouvernementales.
Mais la discussion a rapidement tourné à la joute verbale, laissant craindre l’avènement d’un dialogue, de sourds.
L’héritier d’Hugo Chavez, au pouvoir depuis un an, est chahuté par la contestation estudiantine qui dénonce l’insécurité, la vie chère, mais aussi la répression.
40 personnes ont été tuées en marge des manifestations et près de 600 ont été blessées.
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