Au Mille Sabords, la percussion du radeau de survie, clou du spectacle
par Le Télégramme
Son petit nom est « bib ». Au Mille Sabords, des marins apprennent aux visiteurs comment ouvrir un radeau de survie et à quoi sert le matériel qu’il contient. Une occasion en or pour les glaneurs. C’est le geste que tout marin espère ne jamais avoir à faire : « percuter » le radeau gonflable de survie, le dernier recours quand le bateau coule. Au salon du bateau d’occasion Mille Sabords, ce week-end, devant la capitainerie du port du Crouesty, à Arzon, le public assiste tous les jours à des démonstrations de percussion de radeau. Un bib (son autre nom) nécessairement réformé (la durée de vie moyenne étant environ 15 ans), car ces embarcations vitales ne peuvent servir qu’une fois. « Ça coûte aussi cher de les faire reprendre que d’en acheter un neuf », décode une navigatrice dans l’assistance.
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