Attentats du 13 novembre: le tatouage comme thérapie
par AFP FR
Après avoir été ensevelie sous des corps avec "l'odeur du sang et de la poudre", Ludmila a réussi à s'échapper du Bataclan avec toute sa bande saine et sauve. Pour se souvenir de sa chance, elle s'est fait tatouer un trèfle à quatre feuilles avec le chiffre "13" en guise de cœur. Comme elle, des dizaines de victimes du 13 novembre 2015 se sont fait tatouer pour ne pas oublier, porter le deuil, réapprendre à vivre. Durée: 01:56
Vidéo suivante dans 5 secondes