Jeudi 29 octobre, la ville de Nice était touchée par un nouvel attentat terroriste. Un homme, armé de couteaux, pénétrait dans la basilique Notre-Dame et tuait trois personnes, avant d'être neutralisé par les forces de l'ordre.Au lendemain de l'attaque, l'abbé Pierre-Hervé Grosjean, prêtre du diocèse de Versailles, nous confie le choc qu'il a ressenti, mais aussi son désarroi alors que les églises de France n'accueilleront plus de fidèles après la fête de la Toussaint, une date importante du calendrier chrétien, suite à l'annonce du reconfinement du pays. Pour lui, fermer les lieux de culte n'est pas la bonne réponse car l'espérance de la foi peut se révéler nécessaire pour certains dans cette période compliquée. Il appelle enfin à l'unité de tous, qu'importe les croyances, pour faire face à la "barbarie".
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