«Au bon soin de la patrie», tel est le titre de la lettre envoyée par Claude Sinké au bâtonnier de Bayonne et à la rédaction locale du quotidien Sud Ouest, quelques jours avant l'attaque de la mosquée. Pas de menaces mais une personnalité confuse à travers ce message dactylographié en lettres de tailles et de couleurs différentes. Tireur solitaire, psychologiquement instable ou auteur conscient d'un attentat, l'enquête penche pour la première hypothèse. L'examen psychiatrique révèle que Claude Sinké souffre d'une altération partielle du discernement.
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