Arthur de Watrigant : «Il n'y a plus d'empathie. On a arrive dans la banalité du mal.»

par CNEWS

Arthur de Watrigant : «Il n'y a plus d'empathie. On arrive dans la banalité du mal. [...] Dans un sujet annexe, la mairie de Paris passe son temps à monter les uns contre les autres, et notamment les vélos contre les voitures.»

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