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Ariane Ascaride : "Ce film est un cri d'alarme. Robert Guédiguan devait écrire une comédie. Il suit beaucoup les actualités. Et un jour, il m'a dit qu'il ne pouvait pas, que c'était impossible."

par franceinter

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Ariane Ascaride, actrice, est l'invitée du grand entretien d'Ali Baddou à 8h20. Plus d'informations sur https://www.franceinter.fr/emissions/l-invite.

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Ariane Ascaride : "Je ne cesserai de dédier tout ce que je fais à ceux qui dorment au fond de la Méditerranée. Cet été, il m'est arriver de nager et de me dire que je nageais dans un cimetière. C'est la première fois que je le ressentais"
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Ariane Ascaride : "Excusez-moi, monsieur le président de la République, mais quand vous n'arrivez pas à finir votre fin de mois, quand vous avez une retraite de 900€ et que vous devez payer le loyer (...) on n'a pas tellement envie de rigoler"
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Ariane Ascaride : "Ça fait 30 ans qu'on raconte aux gens que la seule manière de s'en sortir, c'est d'avoir une attitude individualiste. Aujourd'hui, si vous n'avez pas de représentation sociale, vous êtes invisible."
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Ariane Ascaride : "Ce film est un cri d'alarme. Robert Guédiguian devait écrire une comédie. Il suit beaucoup les actualités. Et un jour, il m'a dit qu'il ne pouvait pas, que c'était impossible."
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Ariane Ascaride : "Ce qu'a fait Adèle Haenel est d'un courage inimaginable. Je peux dire, et je sais de quoi je parle, que : ça demande énormément de courage de dire ça. Ca vous bouleverse dans votre corps, dans votre tête."
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Ariane Ascaride : "Je suis contre les tribunaux populaires. Je suis pour la justice, mais les lois qui concernent les violences faites aux femmes ne sont pas à la hauteur de la souffrance des femmes."
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Ariane Ascaride : "Quand j'étais petite, il y avait la contre-culture d'un monde populaire, d'une manière de s'entraider. Aujourd'hui, on vous dit que si vous n'êtes pas comme on vous le montre dans les pubs à la télé, vous êtes un pauvre mec."
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Ariane Ascaride alerte les politiques : "Ça va pas le faire, il va falloir que vous changiez"
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Ariane Ascaride - qui est son mari Robert Guédiguian -
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Angèle : "Beaucoup m'avaient diagnostiqué à l'avance un burn-out, je les remercie de faire attention à moi, mais non (...). Il faut que j'écrive des choses intéressantes, et je ne sais pas ce que je vais raconter si je suis toujours en tournée"
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Angèle : "Ce que j'écris est un questionnement avant d'être une prise de position. Je n'ai pas envie de me dire que c'est une responsabilité, parce que cela voudrait dire que je devrais être irréprochable, alors que j'ai 24 ans."
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Angèle : "J'avais envie de m'arrêter fin février, après Bercy, et finalement je me suis dit que ce serait trop bête d'avoir mis tant d'énergie dans un show et de ne le jouer qu'un mois et demi"
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Angèle : "Je que j'écris est un questionnement avant d'être une prise de position. Je n'ai pas envie de me dire que c'est une responsabilité, parce que cela voudrait dire que je devrais être irréprochable, alors que j'ai 24 ans."
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Angèle : "Quand j'ai écrit "Balance ton Quoi", ça partait d'un sentiment de vouloir expliquer que (...) cette crainte que j'avais dans les transports, dans la rue, c'était un poids que je partageais avec quasiment la totalité des femmes qui m'entouraient"
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Angèle : "En voyant mes parents, j'ai appris que ce milieu est très pressurisant. J'ai eu la chance de m'entourer des bonnes personnes, qui m'ont aidée à pouvoir suivre ce but d'être la plus indépendante possible"
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Mona Ozouf, historienne : “La mélancolie qui se dégage de la déclaration d’Alain Juppé est en partie la nôtre, en particulier devant l’ensauvagement du langage”
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Mona Ozouf : “Un historien de la Révolution française ne peut pas considérer le mouvement des ‘gilets jaunes’ sans retrouver de vieilles connaissances”
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Les émouvantes retrouvailles d'Amalka, la chienne perdue à Roissy, et de sa maîtresse Misà

28 novembre 2024 - leparisien

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