Après sa menace de destitution de Macron, comment LFI défend (toute seule) sa proposition
par Huffington Post
Interrogés sur leur volonté de destituer le chef de l’État s’il ne respecte pas le résultat des urnes, des députés LFI affirment vouloir « envoyer un signal ». Si besoin était de montrer que la rentrée politique est bel et bien lancée, la tribune publiée le 18 août dans la presse par les dirigeants de La France insoumise en apporte une preuve éclatante. Fini la trêve (olympique autant qu’estivale). Jean-Luc Mélenchon et quelques-uns de ses fidèles dont Manuel Bompard et Mathilde Panot annoncent dans La Tribune dimanche qu’ils déposeront, sur le bureau de l’Assemblée nationale, une demande de destitution du président de la République si celui-ci ne nomme pas Lucie Castets à Matignon. L’hebdomadaire titre sur « le chantage » ou « la menace » de la destitution mais pour les huiles insoumises, il s’agit surtout de faire respecter le résultat des urnes. « Le président a mis la démocratie sous cloche. Utiliser une procédure de destitution, je ne vois pas en quoi c’est une tentative de “bordélisation”... », a ainsi plaidé le député LFI Aurélien Saintoul sur RMC. Avant de poursuivre : « Nous sommes des parlementaires et des républicains conséquents, nous considérons qu’il y a une limite ». Il rappelle qu’en 2016, des députés LR avaient lancé une procédure de destitution de François Hollande. Laquelle n’avait pas abouti, faute de majorité. Lire la suite sur Le HuffPost ----- Abonnez-vous à la chaîne YouTube du HuffPost dès maintenant : https://www.youtube.com/c/lehuffpost Pour plus de contenu du HuffPost: Web: https://www.huffingtonpost.fr/ Facebook: https://www.facebook.com/LeHuffPost/ Twitter: https://twitter.com/LeHuffPost Instagram: https://www.instagram.com/lehuffpost/ Pour recevoir gratuitement notre newsletter quotidienne: https://www.huffingtonpost.fr/newsletter/default/
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