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"Après l’échec aux élections européennes de la droite et du centre, j’ai considéré qu’il y avait un espace politique à occuper entre la REM et le RN" (Gérard Larcher)

par franceinter

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Gérard Larcher, président du Sénat, est l'invité du Grand entretien. Plus d'info : https://www.franceinter.fr/emissions/l-invite-de-8h20-le-grand-entretien/l-invite-de-8h20-le-grand-entretien-16-septembre-2020

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Gérard Larcher : "Je ne sais pas comment on interdit le salafisme ou toute forme d'intégrisme. Je crois qu'il faut répandre en tous les cas les valeurs d'ouverture, de partage, de tolérance, dans le respect des religions, de croire ou de ne pas croire."
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Gérard Larcher : "Valéry Giscard d'Estaing a changé la gouvernance de ce pays. Giscard, c'est aussi Simone Veil première présidente du Parlement européen. C'est aussi une modernisation de nos rapports en société."
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Gérard Larcher : "La situation en Afghanistan, c'est la débâcle de la première puissance mondiale, les États-Unis. Il n'y a eu aucune concertation, la France comme l'Allemagne ont subi et tenté de faire du mieux possible. La France a tenu son rang."
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Gérard Larcher estime la culture "comme un bien essentiel pour la cohésion sociale, il va falloir le reconnaitre"
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Scission du Front populaire : "C'est l'échec du 'en même temps'" (Gérard Larcher)
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Gérard Larcher : "On a raté “masquer”, modérément réussi “tester”, il faut réussir la vaccination"
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Gérard Larcher : "Les valeurs de la France, c'est être aux côtés de ceux qui sont persécutés"
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Gérard Larcher : "Il nous reste huit mois. Il n'y aura pas les grandes réformes, qui n'ont pas été faites. Ce qui n'a pas été fait en quatre ans ne sera pas fait en huit mois."
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Gérard Larcher : "J'ai un seul objectif : que les Françaises et les Français aient une alternative à Emmanuel Macron, et que ces alternatives ne se résument pas à Marine Le Pen d'un côté, et Jean-Luc Mélenchon de l'autre."
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Gérard Larcher : "Eric Zemmour et moi, nous n'avons pas les mêmes valeurs"
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Gérard Larcher : "Valéry Giscard d'Estaing avait le rêve de gouverner la France au centre. Le macronisme, c'est autre chose : c'est la définition du "en même temps", alors qu'avec Valéry Giscard d'Estaing il y avait une vision."
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"Le Sénat demande la territorialisation des mesures depuis l'automne" (Gérard Larcher)
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Gérard Larcher, favorable à la vaccination obligatoire des soignants "si nécessaire"
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Gérard Larcher : "Je suis plutôt favorable à l'obligation vaccinale pour les policiers, ce n'est pas possible que les policiers qui contrôlent dans une brasserie ne soient pas eux-mêmes porteurs d'un pass sanitaire."
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Gérard Larcher : "Emmanuel Macron n'est pas quelqu'un qui peut incarner les valeurs de la droite et du centre."
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Gérard Larcher : "Nous devons appliquer les valeurs qui sont les nôtres sur le droit d'asile. En même temps, on ne peut pas se retrouver dans une situation comme nous l'avons connue en Syrie. Il faut anticiper, organiser."
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Gérard Larcher : "Bien sûr qu'il faut parler aux talibans, mais ce ne sont pas nos alliés. Je ne suis pas favorable à leur reconnaissance."
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Vaccination : "Savoir si les pharmaciens ou les médecins sont prioritaires : Il faut sortir de ces conflits"(Gérard Larcher)
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Gérard Larcher : "Nous devons aux Français, nous devons à la France, d'avoir un seul ou une seule candidate pour porter la parole et le projet de la droite et du centre. Et les Français choisiront."
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Condamnation de Nicolas Sarkozy : "J'ai été stupéfait de la décision. Ce qui me préoccupe, c'est l'état des relations entre justice, société et politique"(Gérard Larcher)

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25 novembre 2024 - leparisien

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