Après l'attentat filmé de Christchurch, Facebook promet des restrictions pour sa plateforme Live
par Kangai News
Facebook s'est retrouvé au cœur des critiques mi-mars après qu'un suprémaciste blanc, auteur de la fusillade contre deux mosquées de Christchurch, en Nouvelle-Zélande, a diffusé en direct les images du massacre. Sous pression, Facebook a promis vendredi 29 mars des mesures pour limiter l'usage de sa plateforme de vidéo Live, utilisée par l'auteur de l'attentat perpétré dans des mosquées de Christchurch en Nouvelle-Zélande, dont les images se sont propagées sur internet très rapidement. « Dans le sillage de cet attentat terroriste, nous prenons trois mesures : renforcer les règles pour utiliser Facebook Live, renforcer notre lutte contre la haine sur nos réseaux et soutenir les Néo-Zélandais », a écrit Sheryl Sandberg, numéro deux de Facebook, dans un billet diffusé sur le blog d'Instagram, filiale de Facebook. Le groupe pourrait notamment interdire Facebook Live aux utilisateurs ayant auparavant enfreint ses règles de publication, a-t-elle expliqué, sans donner de calendrier.
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