Antonio, "gilet jaune" estropié, n'a "pas de regrets"

par lepointabonnes

Antonio vit appuyé sur des béquilles qu'une grenade GLI-F4 explose à ses pieds à Paris, le 24 novembre. Malgré les cauchemars qui le réveillent la nuit, il est retourné manifester pour faire entendre la parole des quelque 2.000 manifestants qui, comme lui, ont été blessés depuis le début du mouvement.

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