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Une alerte à la bombe à l'université d'Aix-Marseille
Ce jeudi, le doyen de la faculté de droit de l'université d'Aix-Marseille était invité sur le plateau de BFMTV pour parler de l'alerte à la bombe qui a touché l'établissement. Depuis que la France est en alerte attentat, les alertes à la bombe se multiplient, et cette fois-ci c'était à Aix-Marseille.
Evacuation des locaux et réaction du doyen
Suite à l'alerte à la bombe, tous les étudiants et personnel de l'université ont été évacués. Le doyen, Jean-Baptiste Perrier, a expliqué sur BFMTV qu'ils avaient été informés par la police de la réception d'un mail d'alerte à la bombe peu avant 9 heures. Il a précisé que non seulement la faculté de droit, mais également tous les campus universitaires de la ville d'Aix-en-Provence ont été évacués.
Des milliers de personnes concernées
La journaliste a demandé combien de personnes étaient concernées par l'évacuation. Le doyen a répondu qu'il était difficile d'estimer, mais sur le campus principal d'Aix, où se trouvent la faculté de droit et les sciences humaines, il y avait plusieurs milliers de personnes.
Vacances à venir
La situation était d'autant plus compliquée que les vacances n'avaient pas encore commencé pour les étudiants de l'université. Le doyen a expliqué que les élèves n'avaient qu'une semaine de vacances à la Toussaint, qui commençait la semaine suivante. Il aurait été plus simple d'évacuer si les étudiants étaient déjà en vacances.
Une fausse alerte, mais une première pour l'université
Heureusement, il s'est avéré que l'alerte à la bombe était fausse pour l'université d'Aix-Marseille. Cependant, le doyen a précisé que c'était la première fois qu'un site universitaire était visé de cette manière. Il a fait remarquer que le château de Versailles avait récemment fait face à de nombreuses alertes, mais pour l'université d'Aix-Marseille, c'était une situation inédite.
Préparation et vigilance
Le doyen a également souligné que l'université était préparée à ce type d'événements grâce à des exercices réguliers. Il a affirmé que malgré la variation du protocole en fonction de la nature de l'alerte, tout le monde restait vigilant et prêt à réagir.
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