Http://goo.gl/rGiefM Tout va trop vite. C’est en substance ce que dénonce Alain Finkielkraut à propos de la crise aérienne due à l'éruption du volcan islandais. Pour le philosophe et essayiste, qui était hier soir l’invité du 22h de Public Sénat, l’homme toujours plus pressé est responsable de l’intensification du trafic aérien : « J’ai appris que le président Obama devait se rendre à Cracovie à 13 heures pour assister aux obsèques du président Kaczynski, repartir à 17 heures et rentrer à Washington le soir, c'est-à-dire à peu près pour le dîner », fustige-t-il.
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