Agricool : Donner à la plante tout ce dont elle a besoin
par Le Monde
Un autre a priori que les deux agriculteurs des villes ont dû battre en brèche : celui des exploitants traditionnels, ou conventionnels, à commencer par leurs propres parents qui, eux, produisent en plein champ. La première objection des sceptiques est tout simplement que rien ne pourra pousser ainsi, sans sol ni soleil. Puis les premières fraises pointent le bout de leur nez. « Ensuite, ils ont dit que ça n'aurait pas de goût, s'amuse Gonzague, mais en fait si, elles sont bonnes. Maintenant on nous fait remarquer qu'elles sont encore un peu petites. »
Vidéo suivante dans 5 secondes