L'agression de Vendin-le-Vieil pose une question, celle de la surveillance des détenus dans les prisons de haute sécurité ? Le sont-ils assez ? Alors que trois surveillants pénitentiaires ont été poignardés ce jeudi par un détenu condamné pour des faits de terrorisme, l'établissement doit accueillir Salah Abdeslam le mois prochain. Les syndicats font part de leur inquiétude.
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