La thèse du gouvernement britannique est soutenue par des experts. En effet, l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques a confirmé jeudi que l'agent innervant utilisé sur l'ex-espion russe Sergueï Skripal et sa fille est bien d'origine russe. La Russie a déclaré qu'elle ne croirait pas à ces résultats sans avoir accès à l'enquête. De son côté, Londres a convoqué une réunion le 18 avril prochain pour discuter de la conclusion de l'OIAC.
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