Affaire Maëlys. Pour soutenir la mère de la fillette, ses collègues lui offrent des RTT

par Ça Zap - Zapping TV

Affaire Maëlys. Pour soutenir la mère de la fillette, ses collègues lui offrent des RTT. Affaire Maëlys. Pour soutenir la mère de la fillette, ses collègues lui offrent des RTT Pour soutenir Jennifer de Araujo, la mère de Maëlys, ses collègues de l'hôpital de Pontarlier (Doubs) veulent lui offrir des heures de travail. Pour soutenir Jennifer de Araujo, la mère de Maëlys, ses collègues de l'hôpital de Pontarlier (Doubs) veulent lui offrir des heures de travail. Les parents de la petite Maëlys sont toujours sans nouvelles de leur fille, portée disparue depuis trois mois. Pour soutenir Jennifer de Araujo, la mère, ses collègues de l'hôpital de Pontarlier (Doubs) veulent lui offrir des heures de travail. Joachim et Jennifer de Araujo sont toujours plongés dans une attente insoutenable, alors que leur fille, Maëlys, est introuvable depuis la fin du mois d'août, et que le principal suspect, Nordahl L. continue de nier. Solidaire de la famille, le personnel de l'hôpital de Pontarlier (Doubs), où Jennifer de Araujo est infirmière, a décidé de se mobiliser. Selon L'Est Républicain, les agents de l'établissement auront la possibilité d'offrir des heures de travail à leur collègue. Une proposition faite au début du mois dernier lors d'un comité technique d'établissement et validé par la direction de l'hôpital. "Tout le monde a été profondément choqué" "Chacun donnera ce qu'il veut, ce qu'il peut, ça peut être une RTT, une demi-journée de RTT, même une heure de travail pour certains. Et ça restera confidentiel", explique Lydie Lefebvre, déléguée syndicale de l'établissement. "Tout le monde a été profondément choqué par ce qu'il s'est passé. On a très vite su qu'il était question d'une de nos collègues. Ça touche encore plus." Le 4 novembre, un lâcher de ballons symbolique s'était déroulé le jour de l'anniversaire de Maëlys. Une centaine de personnes s'étaient rassemblées en pensant à la fillette disparue. Du côté de l'enquête, la cour d'appel de Grenoble doit examiner, mardi matin, une requête de l'avocat du principal suspect écroué, qui estime qu'il y a eu une erreur de procédure. S'il obtient gain de cause, cela pourrait faire annuler les déclarations de Nordahl L. lors de sa garde à vue.

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