Affaire Gregory : le mystère demeure
par CNEWS
Le procureur général de Dijon, Jean-Marie Beney, a annoncé lors d'une conférence de presse que les profils ADN identifiés sur les vêtements et sur les cordelettes qui avaient servi à attacher le petit Grégory, mort dans la Vologne en 1984, n'avaient pas permis l'identification d'un meurtrier. 28 ans après les faits, l'enquête n'est pas encore refermée.
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