L’ADN prélevé sur l’homme arrêté, ce vendredi, à Glasgow ne correspond pas à celui de Xavier Dupont de Ligonnès. Depuis ce samedi matin, les doutes étaient de plus en plus nombreux. Finalement, cette arrestation s'est avérée être une nouvelle fausse piste.
L’ADN négatif. Un homme aux empreintes digitales correspondant partiellement à celles de Xavier Dupont de Ligonnès, a été arrêté ce vendredi à Glasgow, en Écosse. Mais les analyses ADN ont permis de trancher ce sameid midi : il ne s’agit pas de Xavier Dupont de Ligonnès.
Des voisins formels. Une perquisition avait été menée dans la nuit de vendredi à samedi à l’adresse correspondant à celle indiquée sur le passeport de l’homme arrêté à Glasgow, à Limay, dans les Yvelines. Les empreintes digitales relevées sur place ne correspondaient pas à celles de Xavier Dupont de Ligonnès. Surtout, les voisins étaient formels. L’homme qu’il connaissait depuis trente ans ne pouvait pas être Xavier Dupont de Ligonnès.
Dénonciation. Ce sont des échanges d’informations entre les policiers français et écossais, sur la base d’une « dénonciation anonyme », qui avaient permis l’arrestation de l’homme.
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