Accusée de "banqueroute et blanchiment" : Magali Berdah, jugée ce lundi à Nice

par La Provence

La procédure concerne sa gestion de la société de courtage en assurances BA&CO entre le 30 janvier 2014 et le 31 juillet 2015, au lendemain de la liquidation judiciaire de la société avec un passif estimé à près de 2,5 millions d'euros, selon le parquet de Nice. Plus dure fut la chute ? Magali Berdah, qui était considérée comme "papesse des influenceurs", se retrouve, ce lundi, devant le tribunal correctionnel de Nice. En septembre 2024, pour rappel le parquet avait requis à son encontre 18 mois de prison dont six fermes sous bracelet électronique. La procédure concerne sa gestion de la société de courtage en assurances BA&CO entre le 30 janvier 2014 et le 31 juillet 2015, au lendemain de la liquidation judiciaire de la société avec un passif estimé à près de 2,5 millions d'euros, selon le parquet de Nice. Dans un entretien au quotidien régional Nice-Matin vendredi, elle assure qu'elle n'est qu'une "simple salariée" de la société et qu'elle n'a rien gagné dans la banqueroute. Pour rappel aussi, en mars, 28 internautes ont été condamnés à l'issue d'un procès qui a révélé la virulence des dizaines de milliers de messages qu'elle a reçus : "Sale chienne", "arnaqueuse", "on viendra t'égorger chez toi", "tu mérites d'être décapitée et lapidée", "que ta fille meure"...

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