Depuis l’invasion de l’Ukraine, le ressortissant russo-israélien a mis en vente non seulement le Chelsea FC, mais l’ensemble de ses avoirs dans les pays occidentaux. « Une cession orchestrée dans la panique », affirme le Financial Times à propos de la vague de désinvestissements qui mobilise le ban et l’arrière-ban des banques d’affaires, cabinets juridiques et comptables de la City comme de Wall Street et alimente les spéculations les plus folles. L’étau des sanctions se resserre aujourd’hui sur celui que ses proches appellent Roman Arkadievitch (le fils d’Arkadi, son patronyme). Ce dernier entend désormais partager son existence entre Moscou et Tel-Aviv, là où personne ne viendra contester ses lauriers de businessman qui transforme en or tout ce qu’il touche.
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